« Pour La possibilité que je m’appelle moi-même, Valentin Lewandowski se met lui-même en scène, entravé dans une curieuse structure en bois et en mousse qui le maintient couché au sol. C’est depuis cet habitacle de fortune qu’il déclame un monologue à base de notes personnelles, décrivant les problèmes pratiques que l’on peut rencontrer dans les espaces publics aménagés. (…) »
Extrait du communiqué de presse La Possibilité que je m’appelle moi-même, par Ingrid Luquet-Gad
Exposition personnelle de Laura Porter et Valentin Lewandowski
Disponible dans Virtual Dream Center 1.2